Les joueurs de bingo s’attachent à des superstitions dont certaines remontent à des décennies. Ces croyances sont particulièrement visibles chez les adeptes du loto quine en salle, où les grigris et autres porte-bonheurs sont légion.
Les numéros fétiches comme porte-bonheur pour gagner au bingo
Au bingo plus qu’ailleurs, les joueurs font souvent appel à des numéros fétiches pour augmenter leurs chances de gain, du moins croient-ils. Ces chiffres porte-bonheurs peuvent être liés à un évènement précis de leur vie – date de naissance, date de mariage, date de la première rencontre, etc. Preuve de leur attachement à ces nombres, les joueurs de bingo en salle les cochent presque systématiquement sur leurs grilles.
Les figurines et autres paires de chaussette porte-bonheur
Les figurines placées aux cotés des cartons de bingo font aussi partie du folklore du bingo en salle. Ces statuettes, peluches ou autres sont toutefois bien plus que de simples objets décoratifs. Elles constituent avant tout des grigris employés par les joueurs pour conjurer le mauvais sort et invoquer Dame Chance au cours d’une partie. Dans l’idéal, un joueur de bingo qui se respecte ne change presque jamais de figurine, sauf peut-être s’il estime que cette dernière ne lui a jamais porté chance.
Suivant le même ordre d’idée, certains joueurs ont l’habitude de porter la même paire de chaussettes, ou le même vêtement, le même chapeau ou les mêmes chaussures pour participer à des tournois de bingo en salle. Il en va de même pour les sièges fétiches et les pièces de monnaies porte-bonheur sur la table.
La patte de lapin
La patte de lapin reste le grigri « absolu », le symbole qui cristallise toutes les superstitions des joueurs de bingo en salle. Des magasins porte-bonheurs en vendent partout en France, comme à l’étranger. Souvent, ces talismans ne sont que des imitations à base de latex et de fourrure synthétique. Certains irréductibles s’attachent néanmoins à la légende, selon laquelle la patte de lapin leur porte davantage bonheur si elle est prélevée à partir d’un lapin – un vrai -, de préférence tué dans un cimetière un vendredi 13…
Et toi, cher visiteur de ce site, quel est ton porte-bonheur fétiche pour gagner au bingo à tous les coups (ou presque) ?
